Publié le 21 avril 2015 par Marseille Tourisme

Deux ans et demi après les fastes de Marseille Provence 2013, où en est la Cité Phocéenne ? Qu’en est-il aujourd’hui des retombées de cette aventure fascinante ?


Battre le fer tant qu’il est encore chaud

Avec près de 900 projets proposés cette année-là et presque autant d’histoires racontées, Marseille a montré à la face du monde qu’elle avait des choses à dire. Loin de s’essouffler, cette profusion – symbole d’un « réveil culturel » tardif – redouble de ferveur en 2015.
C’est ainsi que des événements culturels foisonnent de toute part à l’instar de la Biennale des arts du cirque, de la déferlante des festivals ou de l’exposition « Futurs » qui a ouvert ses portes au musée de la Vieille Charité le vendredi 22 mai. Encore une fois, Marseille surprend par la diversité des genres et par la pluralité des thématiques abordées. « La ville sans nom » fait une entrée remarquée dans le paysage culturel français jusqu’alors réservé à une élite parisienne.


La culture bat son plein

Le succès de Marseille Provence 2013 repose également sur l’inauguration et la rénovation d’institutions historiques. L’année 2013 aura (entre autres) vu la création des Terrasses du Port, la rénovation de la cathédrale de la Major et la réhabilitation du quai du Vieux-Port.

Mais la coqueluche des français restera immanquablement le  Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), symbole du renouveau de la Cité Phocéenne et figure de proue de Marseille Provence 2013. Avec plus de  2 millions de visites enregistrées en 2014,  notre « locomotive » touristique a transformé l’essai ! Marseille prouve à ceux qui en doutaient encore que la culture a bel et bien le vent en poupe en 2015.


Et demain ?

A peine sortie de cette fantastique épopée, Marseille remet les pieds à l’étrier et s’attaque à un nouveau cheval de bataille. Après la culture, la Cité Phocéenne a été élue « Capitale européenne du sport en 2017 ». L’occasion rêvée pour se trouver à nouveau sous les feux des projecteurs.